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3. Un Webdocumentaire • Un Webdocumentario • Film Dokumentalny Web


http://www.louisellestfolle.net

 

  • « La curiosité pour les lieux est le support d’une question sur la vie, ou est-ce le contraire, c’est quoi, vivre, vivre précisément là. » (Leslie Kaplan, Depuis maintenant)

La création de ce webdocumentaire s’appuie sur la rencontre et la parole de femmes à qui sont adressées des questions sur les femmes, l’avant, le maintenant, des questions sur la ville et la folie.
À Paris, à Naples, à Varsovie, des femmes de tous âges et de tous milieux sociaux à un moment donné, dans une ville  donnée, pensent la même question, s’interrogent sur les liens qu’elles peuvent entretenir avec leur environnement, leur identité, sur leur perception de la folie.
Les questions ont été pensées par Leslie Kaplan à partir de sa pièce « Louise, elle est folle ».
Frédérique Loliée et Elise Vigier organisent les tournages à Paris, Naples, Varsovie, en collaboration avec les théâtres, un réalisateur, un peintre/graffiteur, et des femmes, différents dans chaque ville. Amélie Degouys assure le montage et Teddy Degouys le son, de l’ensemble des 3 films.

[Les femmes, la ville, la folie (1. Paris)] C’est un travail qui me semble en très grande correspondance avec le mien, avec ce que je cherche : faire voir et faire entendre le réel dans toutes ses dimensions.
Le film saisit les femmes dans différents quartiers, les suit, les écoute parler, les murs parlent aussi, jeu des graffitis incisifs, des peintures murales, leur douceur décalée. A travers ces femmes le film dialogue avec la ville, avec ses arbres et ses nuages, ses ciels et ses immeubles, ses squares, ses ponts. Ville tellement proche et sensuelle, même quand elle est dure, violente, ville qui contient et qui rejette, ville qui mord comme une grosse grue jaune, ville qui ne dort jamais, allumée. Ville pleine à craquer, qui court dans tous les sens, et solitaire aussi, image magnifique d’une femme de ménage toute seule sur une grande place vide, avec sa serpillère, son seau.
Le film épouse les mouvements de la ville, découvre des point de vue surprenants, ouvre des espaces, déplace le regard. A la question, Qu’est-ce que c’est, une femme folle, une petite fille répond en dessinant une femme nue, laissons résonner en nous cette nudité. Mais « vas y Freud » comme le rappelle une autre, l’hystérie est une façon de faire avec la folie ambiante. Et on passe dans des couloirs sombres et rouges, on est haché par des angles raides, tassé dans un métro, étrangement flottant dans un cimetière, ses feuilles.
Les femmes filmées nous offrent leurs visages intelligents, réfléchis, leurs voix, leurs accents, leurs questions, leur colère parfois, elles sont ici et maintenant, elles pensent leur rapport au monde et nous le font penser à notre tour. Elise Vigier construit avec elles un film sérieux et drôle, tout en échanges, ouvert, on voudrait qu’il ne s’arrête pas.
LESLIE KAPLAN

[Le donne, la città, la follia / 1. Paris] Si tratta di un lavoro assolutamente in linea con il mio, che si prefigge di far vedere e far sentire il reale in tutte le sue dimensioni.

Il film propone le donne nei vari quartieri della città, le segue, le ascolta quando parlano, anche i muri parlano, gioco di graffiti incisivi, pitture murali dalla dolcezza sfasata. Attraverso le donne, il film dialoga con la città, con i suoi alberi e le sue nuvole, i suoi cieli e palazzi, le sue piazze, i suoi ponti. Città sempre vicina e sensuale, anche quando è dura, violenta, città che contiene e respinge, città che morde come un’enorme gru gialla, città che non dorme mai, sempre accesa. Città piena da addentare, che corre in tutte le direzioni, e anche solitaria, immagine magnifica di una donna delle pulizie che se ne sta tutta sola in una grande piazza vuota, con la mazza e il secchio.

Il film sposa i movimenti della città, scopre punti di vista insoliti, apre spazi, spiazza gli sguardi. Alla domanda, Cos’è una donna pazza, una bambina risponde disegnando una donna nuda. – lasciamo risuonare in noi questa nudità. Ma ,« vai Freud » come dice un’altra ragazza, l’isteria è un modo di comporre con la follia che c’è nell’aria. E attraversiamo corridoi cupi e rossi, restiamo impigliati in spigoli appuntiti, ammassati nella metro, stranamente fluttuanti in un cimitero, le sue foglie. Le donne filmate ci regalano i loro volti intelligenti, pensosi, e le loro voci, accenti, domande, talvolta la loro collera, sono qui e ora, riflettono sul loro rapporto con il mondo e ci obbligano a fare altrettanto. Elise Vigier realizza con queste donne un film serio e godibile, tutto di scambi, aperto, e vorremmo che non finisse. LESLIE KAPLAN

[Kobiety, miasto, szaleństwo (1. Paryż)] Ten film ma wiele wspólnego z tym, nad czym sama pracuję, z tym, o co i mnie chodzi : ukazać rzeczywistość we wszystkich jej wymiarach, żeby ją było widać i słychać.

Film pokazuje kobiety z rozmaitych dzielnic, idzie ich tropem, słucha, co te kobiety mówią,  a też co mówią mury, dobitne graffiti, murale, ich urok w niespodziewanym kontekście. Za pośrednictwem tych kobiet film prowadzi dialog z miastem, z drzewami i obłokami, z niebem i budynkami, z miejskimi parkami i mostami. Miasto jakże bliskie i zmysłowe, nawet wtedy gdy okrutne i gwałtowne, miasto, które wchłania i odrzuca, które kąsa jak wielki żółty dźwig, które nigdy nie śpi, rozbuchane światłem. Miasto tak pełne ludzi, że aż pęka w szwach, rozbiegane, ale też samotne, opuszczone – wspaniały obraz sprzątaczki, stojącej samotnie ze szmatą i wiadrem na wielkim pustym placu.

Film podąża za ruchem miasta, odkrywa zaskakujące punkty widzenia, otwiera przestrzeń, przenosi spojrzenie. W odpowiedzi na pytanie « Co to jest kobieta szalona? »  mała dziewczynka rysuje nagą kobietę – niechaj odbija się echem w nas ta nagość. Ale, «lecimy Freudem » jak mówi jedna z kobiet, histeria to sposób dostosowania się do otaczającego nas szaleństwa. I idziemy ciemnymi czerwonymi korytarzami, siekani ostre kąty, ściśnięci w metrze, kołysząc się dziwnie na cmentarzu, jak liście.
Filmowane kobiety ofiarowują nam swoje rozumne, myślące twarze, swoje głosy, swoje akcenty, swoje pytania, czasem swój gniew, są tu i teraz, zastanawiają się nad swoim stosunkiem do świata, każąc i nam się nad tym zastanowić. Elise Vigier stworzyła z nimi poważny i zarazem zabawny film, który cały polega na wymianie, jest otwarty i chciałoby się, żeby się nie skończył.  LESLIE KAPLAN

  • Les femmes, la ville, la folie (1. Paris) [44']
    Un film de : Élise Vigier.
    Collaboration artistique : Frédérique Loliée.
    Avec : Christine Allégri, Élise Blache, Justine Bourgeois, Lara Brulh, Elvina Cohen Russo, Jézabel d’Alexis, Naruna Kaplan De Macedo, Juliette Denicola, Louise Dudek, Louisa Gadault, Annie Gadault, Maria-Claudia Galeru, Laure Guermonprez, Chrystelle Guillouf, Lune Hérard, Hawa Koné, Marie-Claire Kussy, Maroussa Leclerc, Sylvie Lefebvre Pavard, Laure Lejeau, Saltel Marton, Solange Maunier, Nina Nkundwa, Adeline Piketty, Mathilde Raboteur, Sylvie Raboteur, Maliwa Safer, Valentina Sanges, Nanténé Traoré, Mylène Wagram, Andrea Wainer
    Montage : Amélie Degouys.
    Son : Teddy Degouys.
    Images : Romain Tanguy.
    Images métro : Amélie Degouys.
    Peintures et graphismes : Philippe Hérard.
    Étalonnage : Stanley Denizot.
    Remerciements : Quentin Vigier, Nanténé Traoré, Micha Bohac, Marion Faure, Geneviève Mordant, Razerka Ben Saida Lavant, Inès Leruyer, le Centquatre – établissement artistique de la ville de Paris, Ville de Paris
    Chargée de production : Odile Massart.
    Production : Théâtre des Lucioles, Union Européenne.
    Avec la participation de : DICRéAM, Ministère de la culture et de la communication, CNL, CNC
    Tournage : Août 2010

  • « La curiosità per i luoghi porta a interrogarsi sulla vita, o è il contrario, che cosa significa vivere, vivere proprio lì. » (Leslie Kaplan, Depuis maintenant)

La realizzazione di questo  webdocumentario si basa sull’incontro con delle donne a cui vengono poste delle domande sulle donne, il prima, l’ora, delle domande sulla città e la follia.
A Parigi, Napoli, e Varsavia, donne di tutte le età e di tutti gli ambienti sociali, in un momneto data, in una città data, riflettono sulla stessa domanda e si interrogano sul loro legame con l’ambiente che le circonda, la loro identità e il loro modo di percepire la follia.
Le domande sono state pensate da Leslie Kaplan, prendendo spunto dal suo testo teatrale « Luisa è pazza ».
Frédérique Loliée e Elise Vigier realizzano le riprese a Parigi, Napoli e Varsavia, in collaborazione con i teatri delle varie città e avvalendosi della colleborazione, oltre che delle donne, di un regista e di un pittore/graffitista. Il montaggio è a cura di Amélie Degouys e il suono è a cura di Teddy Degouys nei 3 films.

 

  • Dove abita la follia (Le donne, la città, la follia / 2. Napoli) [25']
    Un film di : Frédérique Loliée e Ugo Capolupo.
    Con : Maria Balzano, Carine Jurdant, Emanuela Miano, Antonella Monetti, Giuliana Marotta.
    Montaggio : Amélie Degouys.
    Suono : Teddy Degouys.
    Collaborazione Artistica : Élise Vigier e Leslie Kaplan.
    Titoli e Dipinti : KAF&CYOP.
    Aiuto Regia : Valentina Sanges.
    Colorista : Nicolas Perret.
    Amministratrice di Produzione : Odile Massart.
    Produzione : Théâtre des Lucioles, Unione Europea, Teatro Stabile della città di Napoli (direzione Andrea De Rosa).
    Con la partecipazione del : DICRéAM, Ministero della cultura e della communicazione, CNL, CNC
    In Collaborazione con : Film Commission Regione Campania
    Si ringraziano : Andrea De Rosa, Renato Muro, Chiara Manchise, Claudio Boduir Zaddei, Alessandra Cutolo, Marzia D’Alesio, Mimmo Basso, Dr Nicola Ponsillo, Misha Bohac, Jean-François Didelot, la trattoria Piccolo Ristoro, Unità Operativa di Salute Mentale (UOSM ASL NA1), la Chiesa Santa Maria delle Anime del Purgatorio.
    Riprese : maggio 2011

Ugo Capolupo est né, vit et travaille à Naples.
Il a été assistant de Mario Martone dans le film « Teatro di guerra (Théâtre de guerre) », de Nina di Majo dans « Autunno (Automne) », de Gabriele Salvatores dans « Denti (Dents) » et de Wilma Labate dans « Domenica (Dimanche) ». Il a collaboré à la réalisation de plusieurs documentaire scientifiques produits par la BBC The riddle of Pompei, et « Venerdì santo (Vendredi saint) » de Hertz Frank ; et au théâtre avec Mario Martone pour « Les sept contre Thèbes » et Andrea De Rosa pour « Les troyennes ».
En 2001 il réalise le court-métrage « L’ultimo rimasto in piedi », qui concourt au Sacher Festival de Nanni Moretti en 2001 et au festival de Clermont Ferrand en 2002, il remporte le prix du meilleur film au festival d’Annecy, au Siena International Film Festival, le prix Fice au festival de Caparbio, le prix Lions Italia-Francia de Turin.
Il réalise « La città invisibile », reportage sur le théâtre et sur le travail de 4 artistes, Peter Gordon, Yoshi Oida, Jan Fabre et John Turturro. Il participe au film collectif « Napoli 24 », projet coordonné par le réalisateur Paolo Sorrentino, et présenté au Torino Film Festival.

Ugo Capolupo è nato, vive e lavora a Napoli
È stato assistente alla regia di Mario Martone nel film teatro di guerra, di Nina di Majo nel film autunno, di Gabriele Salvatores nel film denti e di Wilma Labate nel film domenica; ha collaborato inoltre alla realizzazione di alcuni documentari scientifici prodotti dalla BBC the riddle of pompei, e venerdì santo di Hertz Frank prodotto da Teatri Uniti; inoltre per il teatro ha collaborato con Mario Martone  ne i sette a tebe e Andrea De Rosa ne le troiane.
Dal 2001 realizza il suoi primi lavori da regista; realizza il cortometraggio l’ultimo rimasto in piedi, in concorso al Sacher Festival di Nanni Moretti nel 2001 e al festival di Clermont Ferrand nel 2002, premiato come miglior film al festival di Annecy, al Siena International Film Festival, Premio Fice al festival diCaparbio, Premio Lions Italia-Francia di Torino; realizza la città invisibile, reportage sul teatro e sul lavoro di quattro artisti, Peter Gordon, Yoshi Oida, Jan Fabre e John Turturro; partecipa al film collettivo Napoli 24, progetto coordinato dal regista Paolo Sorrentino, film presentato al Torino Film Festival e di prossima uscita nelle sale italiane.

 


  • « Czy ciekawość miejsc prowadzi do refleksji nad życiem, czy raczej odwrotnie, co to znaczy żyć, żyć właśnie tutaj. » (Leslie Kaplan, Depuis maintenant)

Konstrukcja tego filmu dokumentalnego web opiera się na spotkaniach z kobietami, którym są zadawane pytania o kobietach, o przedtem, o teraz, pytania o mieście i o szaleństwie.
W Paryżu, Neapolu i Warszawie kobiety różnego wieku i z różnych środowisk społecznych, w danym momencie i w danym mieście, odpowiadają na to samo pytanie, zastanawiają się nad tym, jaki jest ich związek z otaczającym je środowiskiem, nad swoją tożsamością i swoim postrzeganiem szaleństwa.
Pytania zostały sformułowane przez Leslie Kaplan na podstawie sztuki « Luiza to wariatka”.
Frédérique Loliée i Elise Vigier realizują filmy w Paryżu, Neapolu i Warszawie, we współpracy z miejscowymi teatrami, reżyserem filmowym, malarzem-graficiarzem i z kobietami, innymi w każdym mieście. Amélie Degouys zajmuje się montażem, a Teddy Degouys dźwiękiem do wszystkich trzech filmów.

  • Kobiety, miasto, szaleństwo [3. Warszawa] (26’)
  • Un film de / Un film di / Film : Elise Vigier, Frédérique Loliée, Marcin Latałło
    Interviews / Interviste / Wywiady : Leslie Kaplan, Dorota Cirlić-Mentzel, Agata Czarnacka, Anna Nasiłowska, Liza Sherzaj, Urszula Ryciak, Katarzyna Trzcińska, Ewa Ziemińska
    Réalisation et image / Regia e immagine / Reżyseria i zdjęcia : Marcin Latałło
    Assistante image / Assistente operatore / Asystent operatora : Vita Drygas
    Montage / Montaggio / Montaż : Svitlana Topor
    Prises de son, Mixage et Musique / Suono e Colonna sonora / Dźwięk, Mix i Muzyka : Teddy Degouys
    Conception graphique des questions / Grafica delle domande / Koncepcja graficzna pytań : Joanna Grochocka
    Production / Produzione / Produkcja : Théâtre des Lucioles
    Avec le soutien de l’Union européenne / Con il sostegno dell’ Unione europea / Przy wsparciu Unii Europejskiej
    Et la participation du / E la partecipazione di / Z udzialem : DICRéAM, Ministère de la culture et de la communication, CNL, CNC
    Production exécutive / Produzione esecutiva / Produkcja wykonawcza : Marcin Latałło – Camera Obscura
    Directeur de production / Direttore di produzione / Kierownik produkcji : Adriana Kulig – Aka Film
    Remerciements / Si ringraziano / Podziękowania : Brigitte Bouvier, Paweł Mościcki, Urszula Szymankiewicz, Philippe Tłokiński, Anouchka Vasak-Chauvet, Ewa Ziemińska
    I Café Próżna, Czuły Barbarzyńca – Tomasz Brzozowski, Klub Chłodna 25 – Grzegorz Lewandowski, Centrum Kultury “Nowy Wspaniały Świat”.
    (01/2012)
    Sous-titres français / sottotitoli  francesi / napisy francuskie : Svitlana Topor
    Sous-titres italiens / sottotitoli italiani / napisy włoskie : Ludmilla Ryba
  • La Ville I La Città I Miasto [4']
    La Femme Moderne I La Donna Moderna I Kobieta Nowoczesna [4']
    Dieu I Dio I Bóg [3']
  • 3 films courts de / 3 corti di Lude Réno / 3 krótkie filmy w reż. Lude’a Réno
    Interviews / Interviste / Wywiady : Diep Nguyen Hong, Violetta Domaradzka, Renata Dubowiak, Justyna Durmaj, Magdalena Frączak-Horoszkiewicz, Joanna Haręża, Julia Jodemczyk, Justyna Jurczak, Orina Krajewska, Bogna Komorowska-Jędrzejewska, Izabela Meldo, Elena Mokretsova, Paulina Paga, Daria Pilipajć, Monika Rudnicka, Paula Sadowska, Anna Sauvignon, Krystyna Zabrzeska, Anna Zabrzeska-Pilipajć, Olga Zarkowska
    Musique / Musica / Muzyka : Christophe Réno (piano / pianino), Pani M (guitare / chitarra / gitara)
    Prises de sons / Suono in presa diretta / Dźwięk : Paweł Baranowski
    Mixage / Missaggio / Mix dźwięku : Teddy Degouys
    Réalisation / Regia / Reżyseria : Lude Réno
    Directeur de production / Direttore di produzione / Kierownik produkcji : Adriana Kulig AKA FILM
    Production / Produzione / Produkcja : Théâtre des Lucioles
    Avec le soutien de l’Union européenne / Col sostegno dell’ Unione europea / Przy wsparciu Unii Europejskiej
    Et la participation du / E la partecipazione di / Z udzialem : DICRéAM, Ministère de la culture et de la communication, CNL, CNC
    (10/2011)
    Sous-titres français / sottotitoli  francesi / napisy francuskie : Lude Réno, Adriana Kulig
    Sous-titres italiens / sottotitoli italiani / napisy włoskie : Ludmilla Ryba

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